« Les affaires médiatisées - et celles qui ne le sont pas -, la mobilisation des associations, la production d'études spécialisées mettent peu à peu au jour l'impérieuse nécessité de lutter contre les mauvais traitements à l'égard des personnes fragiles, et particulièrement des personnes très âgées accueillies en établissement.
La loi du 2 janvier 2002 rénove l'action sociale en renforçant les droits des usagers. C'était indispensable. La prévention et la lutte contre la maltraitance sont des priorités nationales, tant mieux, et une circulaire du 30 avril 2002 renforce les procédures de traitement des signalements de maltraitance dans les établissements sociaux et médico-sociaux (1). Le citoyen ne peut que se féliciter de la fissuration progressive
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