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La FNARS redemande des « voies de sortie de l'urgence »

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La Fédération nationale des associations d'accueil et de réinsertion sociale (FNARS) (1) livre un état des lieux peu encourageant du dispositif hivernal d'hébergement d'urgence, quelques jours après celui, tout aussi sombre, d'Emmaüs (2), et au moment où le gouvernement présente un bilan officiel (voir ce numéro).

La fédération relativise notamment le rôle du 115 dans le dispositif. « Les équipes mobiles mises en place exceptionnellement pour l'hiver sont souvent affectées seulement à quelques agglomérations principales, et à quelques heures en soirée. » Dans certains départements, la consigne de mise à l'abri systématique n'est, selon la FNARS, donnée qu'à partir du niveau 2, voire 3, c'est-à-dire en cas d'une extrême urgence. Les capacités d'accueil ne permettent pas en outre de faire face aux besoins, notamment des hommes seuls, des familles nombreuses, des étrangers ou des personnes présentant des troubles psychiatriques.

Autre limite bien connue du dispositif : il ne prévoit pas de passerelles vers l'insertion. « D'une année sur l'autre, les associations retrouvent souvent les mêmes personnes, dont les cas se sont dégradés. » Face à c

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