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Les défenseurs du droit d'accès aux origines demandent une réforme du CNAOP et de l'adoption

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« La loi du 22 janvier 2002 sur l'accès aux origines (1) aurait pu représenter une avancée. Appliquée comme elle l'est, elle produit des effets contraires à ses objectifs. Il est aujourd'hui plus difficile de retrouver son origine qu'avant. » Après 30 mois de fonctionnement du Conseil national pour l'accès aux origines personnelles (CNAOP) et quelques mois avant son renouvellement qui devrait intervenir durant l'été, neuf associations de défense du droit aux origines (2) - parmi lesquelles se retrouvent à la fois des enfants abandonnés et des mères qui ont abandonné - critiquent vivement le fonctionnement de cette instance.

Que reprochent-elles au CNAOP ? Un fonctionnement hyper-centralisé, où une « petite équipe administrative autonome » traite seule des dossiers, « sans débat contradictoire ni aucune voie de recours », explique Claude Sageot-Chomel, président de DPEAO. Face à ce secrétariat général « omniprésent et omnipotent », qui décide seul « de ce qui fait secret ou non », le conseil, « totalement dépossédé de ce pourquoi il a été institué », n'est qu'un « comité Théodule », estime Jean-Marie Muller, présiden

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