Certains des professionnels qui utilisent le modèle AGGIR (autonomie gérontologique, groupes iso-ressources) ont émis des critiques à son égard, jugeant qu'il ne prend pas suffisamment en compte les troubles psychiques et que ses résultats fluctuent selon les cotateurs. Nous-mêmes, praticiens conseils, qui validons au moins 10 %des dossiers d'évaluation, avons constaté des dysfonctionnements aboutissant, dans environ un cas sur dix, à une sous-évaluation de la dépendance. La loi créant l'allocation personnalisée d'autonomie (APA) avait d'ailleurs prévu un comité scientifique pour tirer un bilan de l'utilisa
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