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Elus, malades, familles et professionnels associés dans une campagne sur les troubles psychiques

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« Accepter les différences, ça vaut aussi pour les troubles psychiques. » Décliné sous l'image de la tache d'encre en forme de chauve-souris ou de papillon du test de Rorschach, ce slogan fleurit ces jours-ci dans la presse généraliste et magazine. Il devrait réapparaître, à partir du 15 juin, dans les journaux municipaux et sur les panneaux publicitaires, tous sollicités gracieusement. Cette campagne de communication est initiée conjointement par des représentants des patients, des familles, des professionnels et des élus (1).

« C'est une première en France. Il est important de faire savoir que la maladie mentale est une maladie comme les autres, qui se soigne, s'accompagne. Les patients n'ont pas, en plus de la souffrance, à avoir honte d'être malades », plaide Claude Finkelstein, présidente de la FNAP-Psy. « Des appels semblables à celui de la mère du malade qui a tué deux soignantes à Pau, qui dit "J'ai demandé de l'aide et je ne l'ai pas eue ", nous en recevons constamment. Nous ne pouvons pas les laisser sans réponse », relève Jean Canneva, président de l'Unafam, qui souligne que « 95 %des malades sont dans la cité » et que « les

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