« Le procès qui s'est ouvert le 3 mars à Angers est susceptible de provoquer au fil des semaines de vives émotions, tant les faits décrits sont dramatiques et inhumains. Les victimes sont des enfants âgés au moment des faits de 6 mois à 12 ans. La mise au jour d'un réseau de pédophilie a permis de mettre en place une protection et un accompagnement spécifique auprès de ces 45 enfants. Mais il est aussi possible que d'autres mineurs soient concernés.
Nous pensons d'abord aux enfants victimes des adultes. Il faudra du temps et un soutien sans faille après ce procès pour leur permettre de reconstruire leur identité. Mais nous tenons aussi à apporter notre soutien aux travailleurs sociaux qui ont eu à suivre les enfants et leurs familles et qui sont, nous le savons, très éprouvés de n'avoir pas eu connaissanc
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