« Grenoble, ville-centre d'une communauté d'agglomération d'environ 500 000 habitants, possède un certain nombre de caractéristiques, au regard des problèmes de psychiatrie, qui se retrouvent dans d'autres villes françaises et auxquels le plan présenté apporte des réponses partielles.
« La psychiatrie de secteur constate depuis plusieurs années une occupation des lits hospitaliers par une proportion croissante de patients présentant soit des psychoses graves, soit des toxicomanies. Une part importante des patients hospitalisés (estimée à 30 %) est sans perspective de pouvoir quitter le milieu hospitalier, car les conditions d'une autonomie sociale (qui nécessiterait un accueil en maison de famille ou appartement relais), ou financière, ne sont pas réunies.
« Les difficulté
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