Deux espaces distants de quelques dizaines de mètres, nichés au pied d'un ensemble d'immeubles récents, dans un quartier calme de Paris. Deux accueils étanches pour les deux publics, jeune et adulte, auxquels s'adresse La Corde raide. Au tout départ, il y a 15 ans, l'association proposait aux toxicomanes ayant commis des délits une aide au sevrage. Puis sont arrivés les allocataires du revenu minimum d'insertion (RMI) les plus désinsérés, souvent concernés par des problèmes de drogue. La nécessité de créer un second lieu, l'Unité de prévention des risques à l'adolescence (1), est apparue lorsque l'association a lancé une démarche de prévention de la toxicomanie en direction des jeunes.
Le point commun entre tous les publics de ce centre spécialisé de soins aux toxicomanes (CSST) (2) : leur
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