Recevoir la newsletter

AGIRC/ARRCO : des dérogations admises pour un rappel d'arrérages

Article réservé aux abonnés

L'AGIRC et l'ARRCO ont décidé de revoir la situation de certains de leurs adhérents dont la demande tardive de liquidation de pension a entraîné une perte d'allocations, la date d'effet de ces dernières étant fixée au premier jour du mois civil qui suit la demande de liquidation auprès de l'un des deux régimes ou d'un centre d'information et de coordination de l'action sociale (CICAS). Dans la plupart des cas, la perte des droits est évitée grâce à la mise en œuvre de dispositions spécifiques applicables aux demandes formulées avec un certain retard. Toutefois, les deux institutions souhaitent qu' « un examen attentif de la situation des participants et de leurs ayants droit soit effectué chaque fois que l'application de la réglementation ne permet pas de leur verser un rappel d'arrérages à la date à laquelle les conditions d'ouverture de droits étaient satisfaites ».

Ainsi, le paiement d'arriérés sera possible, dans la limite de cinq ans, dans les cas de dérogations suivants :

 cas de force majeure ayant empêché le participant ou un ayant droit de formuler sa demande (état de santé, a fortiori avec hospitalisation...)  ;

 informations incomplète

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

LE SOCIAL EN TEXTES

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15