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L'interruption volontaire de grossesse peut désormais être pratiquée en ville

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Attendu de longue date par les associations, qui s'étaient encore mobilisées au début de l'été (1), l'arrêté revalorisant les forfaits afférents à l'interruption volontaire de grossesse (IVG) et fixant notamment celui nécessaire à la pratique de l'interruption volontaire de grossesse médicamenteuse- dont les conditions d'exercice ont récemment été modifiées (2)  - est enfin publié.

Pour mémoire, la loi du 4 juillet 2001 relative à l'IVG et à la contraception a ouvert la possibilité à la médecine ambulatoire de pratiquer ces interventions dans le cadre d'une convention conclue entre le praticien et un établissement de santé (public ou privé autorisé à recevoir des femmes enceintes) et conforme à une convention type (3). L'ambition étant de mieux faire face aux demandes auxquelles seuls les établissements de santé pouvaient jusqu'à présent répondre. Ces interventions peuvent être pratiquées jusqu'à sept semaines d'aménorrhée (cinq semaines de grossesse). Un forfait de 191,74  € est désormais prévu, couvrant, outre la prise en charge des médicaments, « la consultation au cours de laquelle le médecin reçoit le consentement de la pa

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