« La réforme des annexe XXIV, en 1989, et la loi du 2 janvier 2002 pour les secteurs social et médico-social, comme la loi du 4 mars 2002 sur les droits des malades pour le secteur sanitaire, ont eu l'immense mérite de mettre en lumière deux évidences. D'une part, que les établissements ou services sociaux et médico-sociaux n'ont de légitimité que parce qu'ils ont une utilité sociale, supposée répondre à des besoins et, d'autre part, que les bénéficiaires des prestations délivrées par ces établissements et services sont des citoyens à part entière,
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