Jean-Pierre Raffarin souhaitait faire le point sur les actions interministérielles menées en direction des personnes handicapées et « mesurer la mobilisation » sur ce chantier présidentiel, « cause de tout le gouvernement » et « pas seulement d'un secrétariat d'Etat ». Au cours d'une réunion de travail, organisée le 18 mars 2003, sous l'égide de la secrétaire d'Etat aux personnes handicapées, Marie-Thérèse Boisseau, et du délégué interministériel aux personnes handicapées, Patrick Gohet, il a donc rassemblé les représentants des principaux services ministériels (action sociale, emploi, Education nationale, enseignement supérieur, sport, équipement, délégation ministérielle à l'accessibilité, culture) et l'Agefiph. Et a affirmé sa volonté de voir le gouvernement s'investir par un « signe fort » en organisant l'accessibilité d'au moins une salle de réunion au sein de chaque cabinet ministériel.
Au-delà de la symbolique, le Premier ministre a plaidé pour la mise en place d'un « label législatif » - et à terme éventuellement réglementaire - accordé systématiquement par les représentants des personnes handicapées, qui
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