Il témoigne de la part du ministère de l'Intérieur d'une vision très négative des usagers, à l'opposé de celle des professionnels. Celui-ci les voit comme dangereux, alors que nous les percevons avant tout comme des personnes en difficulté qui ont besoin d'aide. En outre, ce texte amène à une remise en cause des règles de secret professionnel et de confidentialité des informations qui, contrairement à ce pensent certains, ne sont pas là pour protéger les intervenants, mais les usagers et leur vie privée ; il porte atteinte aux libertés publiques. Enfin, il dénature complètement le travail social qui se fonde d'abord sur la relation de confiance tissée
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