Conséquence de la refonte du dispositif d'accueil des étrangers décidée en avril dernier lors du comité interministériel sur l'intégration (1), les « bureaux d'accueil » et les activités qu'ils pouvaient être amenés à développer pour le compte de l'Etat sont supprimés. Toutefois, indique une circulaire du ministère des Affaires sociales, les associations supports de ces « bureaux » - « qui ont acquis pour certaines une réelle expertise dans les domaines de l'information et/ou de la formation des étrangers, ou encore de la formation des acteurs » - peuvent « valoriser leurs compétences et savoir-faire ».
Comment ? D'une part, explique le ministère, en répondant aux appels d'offre du Fonds d'action et de soutien pour l'intégration et la lutte contre les discriminations (Fasild) (2) s'agissant des formations linguistiques, civiques et « Vivre en France » associées dans la mise en œuvre du contrat d'accueil et d'intégration. D'autre part en demandant des subventions pour le financement d'actions entrant dans le champ de compétences et les priorités d'action du Fasild, notamment en matière d'information sur les droits, d'aide à l'ac
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