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UNE MESURE QUI EXIGE DES MOYENS HUMAINS

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L'avenir du placement sous surveillance électronique dépendra des moyens en personnels -indispensables - dont jouiront ou non les services sociaux pénitentiaires. C'est l'un des enseignements de la première évaluation - très confidentielle - de cette mesure « potentiellement bonne » mais adaptée à peu de condamnés.

« Les premiers temps du placement sous surveillance électronique [PSE] ont d'ores et déjà permis de constater que le caractère “positif” de la mesure, tel que reconnu par les divers partenaires et par les condamnés eux-mêmes, réside principalement dans la “guidance sociale” et l'engagement humain des acteurs », résument les auteurs du rapport de recherche CNRS- ministère de la Justice sur la première phase de mise en œuvre du PSE, que les ASH se sont procuré (1). La relative réussite de l'expérimentation, qui a eu lieu entre octobre 2000 et mai 2002, sur quatre sites pilotes volontaires (2), découle d'abord de l'investissement des professionnels, notamment des travailleurs sociaux, malgré la stagnation des effectifs. « La charge de travail supplémentaire a pu être absorbée par les serv

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