L'Association française des organismes de formation et de recherche en travail social (Aforts) (1) se réjouit du projet de réforme du diplôme d'assistant de service social, sur lequel la Commission professionnelle consultative du travail social et de l'intervention sociale a donné un avis favorable le 2 octobre dernier (2). Construit sur le modèle des référentiels, il représente « plus qu'une adaptation », commente-t-elle en rappelant les principales modifications retenues : le renforcement de l'alternance, l'implication et la reconnaissance des sites qualifiants, y compris dans la certification, la création d'une unité de formation « éthique et philosophie de l'action », d'une unité spécifique de « législation et politiques sociales », d'une unité de formation de « langues » et la possibilité de stages dans l'Espace européen.
L'Aforts, néanmoins, comme l'Association nationale des assistants de service social, réclame la reconnaissance du diplôme au niveau L (licence) du système européen LMD. Cette demande, argumente-t-elle, se justifie à la fois par l'évolution des contenus de la formation, la démarche de recherche demandée dans les m�
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