Les premières mesures ont été lancées dans les années 80 par Robert Badinter, alors garde des Sceaux, puis enrichies pour répondre à trois objectifs : imaginer une voie autre que le traitement judiciaire traditionnel et le classement sans suite, prendre en compte la victime dans la recherche du sens de la peine et individualiser les réponses pour prévenir la récidive. L'évaluation se justifie d'un point de vue déontologique pour conforter l'utilité de notre travail et analyser ses limites, mais aussi du point de vue des justiciables, qu'ils soient victimes ou mis en caus
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