Recevoir la newsletter

« Négocier des accords doit avoir un sens »

Article réservé aux abonnés

Le 13 mars 2003, les partenaires sociaux de la BASS ont signé un accord pérennisant l'apprentissage et l'ouvrant à de nouveaux métiers, finalement refusé à l'agrément pour des raisons budgétaires. Ils se sont donc engagés à en assurer le financement pour cette rentrée. Mais l'Etat n'a toujours pas donné son feu vert pour prendre le relais après le 1er septembre 2004. Colère de Didier Tronche, président du collège employeur de la Commission paritaire nationale de l'emploi de la branche (1).
Comment avez-vous accueilli le refus d'agrément, le 17 juillet, de l'accord du 13 mars ?

Nous nous y attendions, les services de la direction générale de l'action sociale  (DGAS) nous avaient prévenus que cet accord posait un problème financier. Il ouvre l'apprentissage aux différents métiers de la branche sanitaire, sociale et médico-sociale à but non lucratif  (BASS)   (2) dans le cadre d'une cotisation spécifique des entreprises fixée à 0,10 % de la masse salariale. L'idée était que l'apprentissage ne pouvait plus, dans un contexte de pénurie de personnels qualifiés, être f

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Questions à

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15