« Pour accrocher les jeunes inscrits dans des comportements d'échecs à répétition et de passages à l'acte renouvelés, il faut quelque chose de vraiment sensationnel, un projet si incroyable, si exceptionnel pour eux, que d'emblée ils se mettent à rêver et y adhèrent sans trop y réfléchir, sans trop y croire aussi », affirme Georgette Ribot-Kainz, chef de service à l'unité éducative milieu ouvert (UEMO) de Thionville (Moselle). Ce « truc complètement ouf », selon l'un des six adolesecents de 16 à 18 ans embarqués, début 2002, par l'éducatrice de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) dans un
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