« [...] Il y a longtemps que je n'avais pas ressenti un tel sentiment de colère comme en cette journée de mi-août, où il m'a été donné de voir Monsieur Raffarin se pencher sur une petite vieille dame, et lui demander combien elle avait bu de verres d'eau. Ecœuré, vraiment écœuré…
« Bien sûr, je suis convaincu que, quelle que soit la couleur politique du gouvernement, les effets de cette canicule n'auraient pas été mieux appréhendés, et que, malheureusement, il aurait fallu compter des milliers de morts quand même. Mais oser venir faire le guignol dans une maison de retraite, en prenant bien garde de présenter son bon profil aux caméras de tél�
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