« Quand il n'y a pas de reconnaissance pour porter un projet, pas d'encouragement financier pour le travail accompli, les bonnes volontés s'essoufflent. » Philippe Lécuyer, médecin généraliste à Baume- les-Dames, parle d'expérience. Il fut, il y a 20 ans, avec des confrères libéraux conscients de la nécessité d'un soutien à domicile des personnes âgées, à l'initiative d'une association locale des professionnels de santé. Quelques années plus tard, la réflexion aboutira à un premier essai de coordination médico-sociale avec la participation d'intervenants sociaux locaux, limitée, faute de moyens, à quelques situations...
Depuis octobre 2000, la donne a changé. Né de la conjonction des volontés - celle des médecins locaux, des élus et de la Mutualité sociale agricole (MSA)
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