Une maison de famille remplie de rires et de jeux d'enfants qui s'ébrouent sous le regard complice de leur bienveillante grand-mère : pour nombre de parents, ce tableau idyllique a tout de l'image d'Epinal. C'est en pensant à eux qu'il y a une vingtaine d'années, un groupe de travailleurs sociaux de l'aide sociale à l'enfance (ASE) des Hauts-de-Seine a imaginé la Passerelle. « Pour pouvoir être un bon parent, ou plutôt : un parent suffisamment bon - selon la formule de Donald Winnicott -, il faut bien un minimum de plénitude dans sa vie personnelle et sociale », souligne Véréna Thorn, alors éducatrice spécialisée dans ce service, qui concrétiser
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