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Les élèves éducateurs de la PJJ refusent de travailler en CEF

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Un mouvement de grève a conduit la majorité des quelque 140 éducateurs stagiaires de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) à ne pas se présenter aux examens prévus le 13 juin dernier, au centre national de formation de Marly- le-Roi (Yvelines).

Les étudiants veulent que tous les postes laissés vacants après les mouvements de mutation du personnel titulaire leur soient ouverts, une partie seulement leur étant habituellement proposée. Objectif : avoir le choix de leurs débouchés et ne pas être contraints de travailler en centre éducatif fermé  (CEF). Pour l'UNSA-Syndicat de la protection judiciaire de la jeunesse (SPJJ), l'inquiétude n'est pas fondée : « Nous avons été reçus le 12 juin par la direction de la PJJ, qui nous a assuré que très peu de postes en CEF et en maison d'arrêt seront proposés à la promotion sortante », explique Laurent Hervé, secrétaire adjoint du syndicat. L'ouverture de deux centres éducatifs fermés du secteur public étant prévue pour la rentrée, 25 postes environ seront à pouvoir à cette date. « Mais l'administration ayant l'habitude de proposer les postes prioritaires aux éducateurs sortant de formation

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