Créés pour offrir un hébergement et un accompagnement médico-social aux personnes touchées par le VIH, les appartements de coordination thérapeutique (ACT) sont devenus des institutions médico-sociales financées par l'assurance maladie depuis les lois du 2 janvier 2002 rénovant l'action sociale et médico-sociale et du 17 janvier 2002 de modernisation sociale (1). Si ces structures sont désormais dotées d'une assise pérenne, elles doivent aussi s'ouvrir à de nouveaux publics. En question depuis plusieurs années, cet élargissement est aujourd'hui inscrit dans les textes (2). Comment, dès lors, transférer une richesse d'expériences et de pratiques à d'autres pathologies chroniques sévères que le VIH (3) ?
Sur le principe, pas d'opposition majeure. D'autant que les appartements de coordination thérapeutique disposent de nombreux at
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?