La décision est prise. Annoncée comme telle par le Premier ministre lors de la synthèse des assises des libertés locales à Rouen, le 28 février dernier, elle est tombée comme un couperet (1). Alors que deux jours avant, on assurait encore dans certains couloirs du ministère de l'Education nationale que le service social scolaire ne serait pas décentralisé. Malgré les déclarations de Jean-Pierre Raffarin précisant que rien ne se ferait sans l'accord des personnels. Malgré l'assurance donnée par le ministre de l'Education nationale devant le comité techni- que paritaire ministériel du 2 décembre 2002 que la santé scolaire ne serait pas décentralisée.
A compter du 1er janvier 2004, sauf changement de cap politique majeur avant l'adoption des lois organiques, les 2 200 assistantes sociales scolaires et les
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