Nous savions que des ménages pauvres ne touchent pas de minima sociaux : les familles où n'entrent que des revenus salariaux intermittents, ou à temps partiel, ou même un SMIC mais avec beaucoup d'enfants. Par contre, l'ampleur du phénomène nous a surpris, de même que le fait que cette moitié des allocataires à bas revenus qui ne bénéficient pas d'un minimum social a des revenus légèrement inférieurs à l'autre moitié. 12 % se situent même en dessous du montant normalement garanti par le revenu minimum d'insertion (RMI) ! Cette population apparaît très hétérogène : beaucoup de familles, souvent monoparentales, mais aussi beaucoup de jeunes (qui n'ont pas droit au RMI). Nos fichiers ne nous permett
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