Le 12 décembre a eu lieu la première réunion entre acteurs associatifs et délégation générale à l'emploi et à la formation professionnelle (DGEFP) sur l'avenir des chantiers d'insertion et leurs difficultés de financement. Une réflexion engagée à la suite des protestations suscitées par une circulaire de septembre du ministère des Affaires sociales restreignant notamment le taux de prise en charge par l'Etat des contrats emploi-solidarité (CES), sur laquelle il est revenu par la suite (1). Cette première prise de contact devrait être suivie d'une seconde réunion le 4 février. Entre temps, à la mi-janvier, les associations (2) devraient se rencontrer pour préparer une évaluation du coût des chantiers d'insertion - plus particulièrement du coût de l'encadrement et de l'accompagnement socio-professionnel - et des préconisations sur les contrats à proposer à leurs publics en lieu et place des actuels CES et contrats emploi consolidé (CEC).
Ces réflexions devraient être étayées par une récente étude sur ces chantiers, réalisée par le cabinet lyonnais SILOE pour le compte de la délégation générale à l'emploi, qui d
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