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« Grande pauvreté : parole en souffrance ! »

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P our Xavier Bouchereau, éducateur spécialisé, l'usager doit pouvoir se situer dans le système d'aide sociale et faire entendre sa souffrance à des professionnels « au vocabulaire quelque peu sophistiqué ».

« Chacun s'en félicite, depuis la rénovation de la loi de 1975 concernant les institutions sociales et médico-sociales, le droit de l'usager est réaffirmé sans ambages. J'insiste sur le terme “réaffirmé”, car la majorité de ces droits (droit à la dignité, à l'intégrité, à l'intimité, à une vie privée...) relevait déjà du droit commun. En tout état de cause, on devine là une volonté de repositionner l'usager au centre du dispositif d'aide sociale. Mais réduire le foisonnement des textes juridiques à une question de place est impossible. Car derrière les réflexions engagées se dessinent des interrogations aux apparences surannées mais à la pertinence toujours intacte. Qu'en est-il vraiment de la parole de l'usager ? Les professionnels chargés d'accompagner les populations parmi les plus pauvres savent-ils les écouter ?L'intervention sociale contrainte (comme l'AEMO) autorise-t-e

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