Tout commence au milieu des années 80. Observant les distributions de pommes de terre à l'attention des populations les plus démunies via les circuits traditionnels de la banque alimentaire, des élus de la Roche-sur-Yon prennent conscience que les bénéficiaires de ces surplus n'ont pas accès à un certain nombre de produits élémentaires. Le centre communal d'action sociale (CCAS) (1) décide alors d'apporter son soutien financier à la banque alimentaire pour élargir l'offre à une quinzaine de produits supplémentaires, tels que le chocolat, le café et les produits d'hygiène ou d'entretien. Ce sera le véritable point de départ d'une réflexion générale sur l'alimentation et la nutrition et sur la façon de coordonner une p
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