« Depuis quelques années, on a vu apparaître, dans le cadre de l'intervention sociale (politiques d'insertion et politiques de la ville), de nouveaux emplois sans qualification, des emplois-jeunes, comme les médiateurs, les correspondants de quartiers et les agents d'ambiance confrontés à des situations difficiles. Parallèlement, et par souci de rentabilité, des régies de quartier ont été contraintes, de plus en plus, de sélectionner par le haut les recrutements, empêchant ainsi de nombreuses personnes touchées par des difficultés sociales et économiques de bénéficier de ce dispositif. Au niveau des centres d'hébergement et de réinsertion sociale, de plus en plus, les contrats pour les personnes hébergées sont très courts. Ce qui pénalise l'accompagnement social.
Dans le secteur social traditionnel,
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