Retrait de l'Etat et des collectivités locales du secteur marchand, ouverture de tous les domaines d'activité (y compris le logement social et les services d'intérêt général) aux entreprises privées, suppression des avantages fiscaux et sociaux de « l'économie dite sociale » : telles sont les nouvelles règles que le Medef appelle de ses vœux. Par la voix de son vice-président, Denis Kessler, et de Bernard Augustin, président du comité de rédaction, l'organisation patronale a rendu public, le 1er juillet, un vigoureux plaidoyer politico-juridique en faveur de la concurrence (2). Présentée comme « le facteur majeur de la croissance », celle-ci souffre des pratiques de ces « acteurs pas comme les autres » que sont notamment les structures de « l'économie dite sociale ».
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