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« Travail social : du discours de la perte à celui de la renaissance »

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Selon Philip Mondolfo,  enseignant-chercheur en sociologie, la situation actuelle « ouvre des pistes pour repenser la place et les modalités d'intervention du travail social ».

« Nous pouvons analyser les dernières élections comme un constat de “faillite” des institutions d'intégration, qu'elles soient citoyennes (partis, syndicats, églises, associations) ou publiques (écoles, action sociale...). Pourtant, par-delà un certain désenchantement, cette situation ouvre des pistes pour repenser la place et les modalités d'intervention du travail social.

Déclin du pouvoir professionnel

Le travail social a été confronté ces 30 dernières années à un doute sur le sens de son action et à une perte de contrôle technique sur son champ et ses activités. On ne reviendra pas sur le rôle joué par la réforme politico-administrative de la décentralisation qui a renforcé le travail prescrit au détriment de l'autonomie relative des professions du social. On retiendra que la disqualification symbolique a été principalement portée par la sociologie critique des années 70 (Foucault, Castel, Verdès-Leroux, Donzelot..

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