Ces débats ne nous laissent, bien sûr, pas indifférents. Il y a des jeunes qui posent des actes sur un mode délictueux et, pour eux, il faut une sanction. Mais il y en a aussi qui relèvent de la maladie mentale, et de ceux là, on ne parle pas suffisamment. Au-delà du répressif et de l'éducatif, existe la dimension du soin. Or elle est occultée. Depuis plusieurs années, nous disons au gouvernement qu'il a un outil à sa disposition - les instituts de rééducation - qui offrent justement une prise en charge axée sur le soin, ce qui peut éviter à certains jeunes les passages à l'acte et l'escalade dans la violence. Mais nous ne sommes pas entendus !
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