« Sans un partenariat étroit avec le mouvement associatif, la recherche d'une justice mieux comprise et partagée sera insuffisante. En effet, le mouvement associatif, par la place originale qu'il occupe et la nature de ses objectifs, est à même de traduire, tout en les organisant, les aspirations de la société civile et de contribuer à ce que la justice les intègre dans son fonctionnement quotidien. » C'est forte de ce constat qu'une circulaire de la chancellerie sur la politique associative du ministère de la Justice cherche à approfondir la concertation, à améliorer les procédures et à sécuriser les financements.
Dans le droit-fil de la charte du 1er juillet 2001 (1), la circulaire souhaite, en premier lieu, la mise en place d'une commission nationale de la politique associative, installée auprès du garde des Sceaux et dont la composition est détaillée (2). Elle aura notamment pour objectif d'assurer, au plan national, une information permanente et réciproque entre le ministère de la Justice et le secteur associatif et de veiller à la cohérence de la politique conduite par les différentes directions de l'administration c
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