Globalement, jusqu'à récemment, la tendance était de considérer que les jeunes en situation de handicap arrivant jusqu'à l'université s'étaient débrouillés jusque-là et n'avaient pas besoin d'une prise en charge spécifique. Puis, dans les années 90, on a pris conscience qu'il n'en était rien. Un comité national informel pour le « droit au savoir », réunissant des associations et des fédérations, s'est constitué. Il était piloté par la Fondation santé des étudiants de France, confrontée à des situations d'étudiants handicapés ayant besoin d'aide. Au fur et à mesure de l'avancement de la réflexion, il est apparu qu'il fallait créer une association pour être mieux en
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