L'an dernier, nous fonctionnions de façon informelle, par délégations. Il était difficile, dans ces conditions, d'avoir notre indépendance. Nous n'avions pas de compte en banque pour recevoir des financements. Le ministère nous demandait : « A qui parle-t-on ? ». Et lorsque nous avons voulu siéger au Conseil supérieur du travail social, on nous a répondu que c'était impossible puisque nous n'avions pas de représentation juridique... Pour toutes ces raisons, nous avions besoin de créer une association. Mais celle-ci n'est que transitoire. Elle sert à relancer le
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