« Nous avons obtenu en 2000 une revalorisation des subventions sur une base forfaitaire, intégrant - ce qui est tout de même rare -les coûts de fonctionnement et de structure des associations. On a pu montrer à la commission exécutive du Fonds de solidarité pour le logement [FSL], par exemple, qu'un directeur ça coûte tant, qu'une secrétaire ça coûte tant, etc. » Cette avancée, importante dans un département (la Seine-Saint-Denis) où la plupart des associations spécialisées dans l'accès au logement fonctionnent avec l'aide du FSL, illustre, selon Bruno Morel le directeur d'Interlogement 93 (1), la force de négociation que représente ce collectif relogement regroupant 42 associations adhérentes.
Né en 1990 de l
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