On les dit peu concernés par la construction européenne. Il est vrai, aussi, que franchissant rarement les frontières de la cité ou du quartier, les jeunes défavorisés n'ont pas souvent l'occasion de participer à des échanges internationaux. Et encore moins d'être conviés à y faire part de leurs problèmes quotidiens et de leurs suggestions pour en sortir. Aussi la rencontre corrézienne a-t-elle constitué une grande première pour nombre de participants.
Venus de dix pays européens - appartenant ou pas à l'Union (1) - et de différentes villes de France (2), 80 jeunes de 15 à 25 ans, accompagnés de 40 travailleurs sociaux, ont pu confronter, à Tulle, leur vision du monde.
« C'est une Europe oubliée à qui nous avions donné rendez-vous cet été, pas l'Europe des grands dossiers, mais le continent des enfants des
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