100 000 jeunes trouvent chaque année un logement en foyers de jeunes travailleurs (FJT), pour un séjour moyen de près de six mois, qui peut durer en fait de quelques jours à deux ans. Pour les uns, il s'agit d'assurer une simple mobilité géographique, le temps d'accomplir un stage ou de trouver un logement en ville. Pour d'autres, le FJT offre une solution, la seule, après une rupture familiale ou sur le chemin cahoteux d'une insertion sociale et professionnelle difficile. A tous, il s'agit d'offrir des logements « banalisés, faciles d'accès, rapidement mobilisables, agréables et bon marché », défend Bernard Faure, président de l'Union des foyers et services pour jeunes travailleurs (UFJT) (1).
Pour répondre à cette ambition, les associations qui gèrent les foyers doivent souvent s'attaquer à la
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