Actualités sociales hebdomadaires : Comment est né ce dispositif de veille ?
Olivier de Labarthe : Il y a eu deux éléments déclencheurs. Le premier rapport parlementaire de Jacques Guyard, en décembre 1995, tout d'abord, qui montrait l'influence des sectes sur la formation professionnelle, une activité qui leur permet à la fois de se procurer des fonds et des adeptes. Puis nous avons été cités dans un ouvrage comme ayant financé une formation sectaire. Nous avons alors pris conscience que nous n'étions pas toujours capables de savoir si les actions que nous prenions en charge étaient, ou non, dans la mouvance de sectes. Pour maîtriser et prévenir un tant soit peu ce risque, il nous fallait
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