« Ici, au quotidien, les 35 heures, ça marche. C'est même surprenant, au regard des crises que la mise en place de la réduction du temps de travail peut provoquer dans d'autres associations du secteur social », déclare, satisfait , Daniel Pottiez, chef de service au sein de la structure d'action éducative en milieu ouvert (AEMO) de la Sauvegarde de l'enfance et de l'adolescence des Yvelines (1) (voir encadré).
De fait, les élus du personnel du service AEMO, dont le siège se trouve à Versailles, rappellent que les discussions ont été et sont toujours animées, que des pétitions ont été signées et que certaines frustrations demeurent. Néanmoins, ils le reconnaissent : les salariés ne se sont pas mobilisés contre le passage aux 35 heures.
Comment cette s
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