On peut ironiser sur « l'activisme » de la ministre déléguée à la famille, à l'enfance et aux personnes handicapées qui multiplie à l'infini les groupes de travail. Il n'empêche, la « méthode » Royal a le mérite d'associer très largement experts, partenaires institutionnels et responsables associatifs. Et de faire progresser, au-delà des seuls aspects techniques, la réflexion de fond. A cet égard, le groupe de travail Famille et pauvreté ne déroge pas à la règle (1). « On a eu une écoute extrêmement attentive. C'est quand même assez rare qu'un ministre s'appuie sur les propositions techniques des associations et ne se contente pas de mesures décrétées entre les quatre murs de son cabinet », se félicite Rina Dupriet, vice-présidente de l'Association nationale des directeurs d'action sociale et de santé des conseil
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