« Faut-il vraiment faire quelque chose de spécifique pour les populations originaires des départements d'outre-mer ? » Cette question, Georges Dorion se l'est posée voici huit ans, lors de son arrivée à la présidence du Comité d'action sociale en faveur des originaires des départements d'outre- mer en métropole (Casodom) (1). Malgré les difficultés financières que traverse alors l'association créée au milieu des années 50 et pionnière dans l'accueil et l'aide aux publics originaires des départements d'outre-mer, la réponse ne fait aucun doute. « Il faut toujours avoir à l'esprit que les personnes que nous recevons sont des Français. Ils devraient donc pouvoir évoluer dans une situation qui ne soit pas très différente de celle de leurs homologues de l'Hexagone, estime le prés
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