« Face à l'errance et à la dérive des jeunes, à quand des réponses publiques cohérentes ? », s'interrogeait François Chobeaux, directeur des politiques sociales aux CEMEA dans un courrier adressé aux ASH en septembre (1). Lequel évoquait en particulier « le bricolage humanitaire » organisé lors du festival des Vieilles charrues, mi-juillet, à Carhaix.
« Que les “rave parties” posent question et posent problème, nul n'en disconvient. Pour autant, nul ne peut jeter le discrédit sur des engagements qui ont fait leur preuve », répond, dans la lettre qu'il nous a adressée, Patrice Beal, directeur départemental des affaires sanitaires et sociales du Finistère (2). Et celui-ci d'énumérer les actions mises en œuvre par l'organisateur du festival officiel, les associations locales et la mairie de Carhaix-Plouguer. Citant parmi les initatives engagées : pour le festival officiel, la prévention des accidents, de l'alcoolisme, du VIH, l'installation d'une plate-forme pour l'accueil des personnes handicapées ; et, pour la « rave party », la réduction des risques liés à la toxicomanie, la prévention, les premiers secours... De plus, « le
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