Une circulaire interministérielle du 3 août précise les modalités d'utilisation des crédits spécifiques du ministère de la ville et fixe des orientations pour l'ensemble des crédits qui concourent à la politique de la ville.
Le texte détaille en premier lieu les crédits liés à la modernisation et l'animation dans les quartiers. Il souligne la nécessité d'une présence effective des services publics dans les quartiers en difficulté, afin de garantir aux habitants l'accès aux prestations. A cet égard, pourront être financées, par exemple, des plates-formes de services publics ou de maisons des services publics (1). De même, les projets élaborés par les écoles primaires et les établissements publics locaux d'enseignement « situés dans le cadre des zones et réseaux d'éducation prioritaire contribuant aux objectifs de la politique de la ville » pourront être retenus.
La circulaire passe ensuite aux crédits afférents aux interventions en faveur du développement social urbain (DSU) et en énumère, tout d'abord, les bénéficiaires : collectivités locales (le taux de subvention sera adapté notamment à la gravité des situations locales), organismes
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