Simple redistribution des cartes sans grande portée politique, pour les uns ; schéma cohérent susceptible de relégitimer une administration affaiblie, pour les autres... « Ce n'est certes pas une révolution, concédait Pierre Gauthier, ex-directeur de l'action sociale, qui a piloté la réorganisation. Avant de céder son poste, fin juillet, à Sylviane Leger. Néanmoins, cette réforme consolide des mouvements déjà engagés, comme la fusion de la direction de l'action sociale [DAS] et de la délégation interministérielle au RMI [DIRMI]. »Pour lui, cela ne fait pas l'ombre d'un doute : cet organigramme devrait permettre à la nouvelle direction générale de l'action sociale (DGAS) d'opérer« un saut qualitatif important » dans l'animation des politiques sociales. Ce qui est sûr, c'est qu'il y avait urgence à restructurer une administration plus occupée à la gestion de l'action sociale qu'à son pilotage. Là-dessus, tous
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?