Deuxième offensive postale pour le Syndicat national des cadres du secteur sanitaire et social (SNCSSS) de la CFE-CGC (1). En février, il enjoignait les cadres de la convention collective de 1966, adhérents ou non, d'écrire à Martine Aubry pour lui réclamer l'agrément immédiat de l'avenant 265 (2). Environ 10 000 d'entre eux - soit la moitié des salariés concernés - ont adressé un courrier à la ministre, selon le syndicat. En vain, jusqu'à présent. Le SNCSSS encourage donc désormais les cadres - courrier type à l'appui - à demander massivement à leurs employeurs l'application rétroactive, à compter du 1er juillet 1997, de l'avenant 260 du 6 mai 1997. Un texte non agréé, mais qui, au contraire de l'avenant 265, ne stipulait pas expressément devoir l'être pour entrer en vigueur (3).
Par ailleurs, l'organisation appelle à deux manifestations nationales : le 4 mai, dans le fief du Premier ministre, à Cintegabelle (Haute-Garonne), et le 15 mai, à Lille, un jour de conseil municipal où Martine Aubry devrait être présente.
Des conseils d'administration sensibilisés
La Coordination nationale avenant 265 (4), qui revendique aujourd'hui environ 2�
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