C'est la première fois que la Fnap Psy a une telle démarche. Pourquoi maintenant ?
- Il est temps que l'usager des services de santé mentale prenne la parole et devienne acteur, à l'image de ce qui se fait dans d'autres pays européens. Au Royaume-Uni, par exemple, certaines associations d'usagers sont reconnues comme de vrais partenaires par les professionnels. A leur demande, certaines d'entre elles interviennent auprès des patients, signalés en crise, et permettent ainsi, dans près de 60 % des cas, d'éviter l'hospitalisation. En France, nous sommes très loin d'une telle collaboration. Au contraire, les usagers souffrent de ne pas être écoutés, ni même considérés par les professionnels. Le sondage que nous avons réalisé auprès
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