Vous affirmez que les ateliers protégés vivent, aujourd'hui, une situation dramatique. Que se passe-t-il ?
- Les ateliers protégés, dont la vocation est l'insertion professionnelle des personnes handicapées par l'emploi salarié, reposent sur une législation vieille de 40 ans, inadaptée au contexte actuel. Jusqu'à présent, nous avons tenu grâce à des interprétations de la loi. Mais, aujourd'hui, nous nous heurtons à un obstacle législatif. Il est donc nécessaire de revoir de fond en comble la raison d'être, les objectifs et les ambitions de nos entreprises de travail adapté. Nous refusons un nouveau replâtrage d'un dispositif juridique désormais obsolète.
Le 28 janvier, vous avez rencontré Dominique Gillot, secrétaire d'Etat à la santé et à l'action sociale. Que vous
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