« Nous avons signé un accord de réduction du temps de travail [en juin 1999 dans le cadre de la convention collective de 1966], qui a reçu l'aval de 90 % du personnel et qui prévoit des embauches à hauteur du temps de travail libéré par la réduction de 15 % prévue à l'accord. Notre souci commun était de préserver la qualité des services apportés aux jeunes handicapés que nous accueillons et à leurs familles tout en participant le plus possible à la création d'emplois. Nous avons consenti un effort salarial important pour y parvenir.
« Cela ne semble plus être la priorité du ministère de l'Emploi et de la Solidarité, puisque notre accord n'a pas été agréé parce qu
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